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Cindy Rocha Augusto
Psychologue,
Psychothérapeute
0496/13.63.34

Pourquoi consulter un psy ?

Le psychologue clinicien est un expert du comportement, des émotions et de la santé mentale. Il intervient auprès des personnes qui éprouvent de la détresse ou des difficultés psychologiques. Le psychologue a fait 5 ans d'études universitaires avec diverses spécialisations possibles. Le psychothérapeute est souvent psychologue à la base et aura généralement fait 3 ans d'études universitaires supplémentaires. Tandis que le psychiatre quant à lui est médecin à la base et peut prescrire des médicaments, remplir des certificats...

Le psychologue pourra intervenir dans diverses situations pour aider à démêler des conflits, à améliorer la qualité de vie de la personne en demande ou encore à améliorer ses compétences de communication par exemple. Il pourra intervenir à tout âge, en individuel, en couple, en famille et même en entreprise. Il évitera toujours de donner des conseils « formatés » mais au contraire évaluera la situation particulière et aidera la personne à en ressortir ses propres ressources et ses propres comportements pouvant poser problème. Il amènera la personne en demande à y voir plus clair, à prendre de la distance par rapport à ses difficultés et à trouver des solutions optimales adaptées aux circonstances. Le cabinet psychologique sera un lieu calme propice à l’échange et à la confidence dans le respect de chacun. Le psychologue est toujours soumis au secret professionnel.

 

Types d'interventions :
Enfants
Adolescents
Adultes
Familles
Couples
Entreprises

Enfants

L’enfant connaît de multiples changements rapides, physiques, psychologiques, intellectuels, etc. Chaque changement doit être intégré et chacune des étapes du développement de l’enfant peut laisser place à une ou des difficultés psychologiques.

Il arrive également très souvent que les problèmes de l’enfant trouvent leur source dans la relation qu’il entretient avec ses parents. Pour cette raison, le psychologue interviendra toujours en collaboration étroite avec les parents tandis que les changements prendront place tant du côté de l’enfant que du côté des parents.

Le psychologue pourra intervenir avec vous si différentes situations se présentent. Par exemple (liste non exhaustive) :

  1. Trouble du sommeil (pouvant exister à tout âge) ;
  2. Trouble de la parole et du langage où le psychologue pourra aider l’enfant à faire face à ces difficultés en collaboration étroite avec un(e) logopède ;
  3. Les Troubles Obsessionnels Compulsifs, les tics, la maladie de Gilles de la Tourette ;
  4. La trichotillomanie ou l’onychophagie ;
  5. Les troubles sphinctériens : l’énurésie ou l’encoprésie ;
  6. Les troubles alimentaires : la boulimie ou l’anorexie en relation ou non avec des éléments phobiques ;
  7. Intervention auprès d’un enfant ayant vécu un traumatisme (décès d’un parent, inceste, etc.) ;
  8. La dépression chez l’enfant ;
  9. Les troubles anxieux chez l’enfant ;
  10. Les phobies (par rapport à un objet ou à l’école)
  11. Etc.

Adolescents

S’il est vrai, comme pour l’enfant, que l’adolescent doit faire face à une multitude de changements (physiques avec la puberté, affectifs, environnementaux -entrée dans le secondaire-, etc.), d’autres composantes prennent ici place. En effet, l’adolescent va s’identifier à son groupe d’amis. L’attachement y est très fort et les déceptions, les jalousies, les disputes (etc.) sont vécues avec beaucoup d’émotion. Il en va de même avec les premières relations sentimentales, les premières ruptures. De plus, la pression sur leurs épaules est de plus en plus importante : performance à l’école, au sport, diktat de la mode et de l’esthétisme, de la minceur, etc.

Dans ce tourbillon d’événements divers, l’adolescent aura souvent du mal à communiquer avec ses parents (et l’inverse est vrai également). L’adolescent estime que ses parents sont « dépassés », les parents ne reconnaissent plus leur enfant… Le psychologue peut alors jouer un rôle d’intermédiaire entre les deux générations.

Au-delà de la gestion de ces événements, quasi tous les troubles présentés dans la rubrique « ENFANTS » peuvent se présenter (ou subsister) à l’adolescence.

Adultes

Nous pourrions ici faire la liste de tous les troubles mentaux dressée par l’American Psychiatric Association au sein du DSM-IV-TR . Je préfère vous présenter les motifs de consultation les plus récurrents :

  1. Les troubles anxieux
  2. Les troubles de l’humeur
  3. Les troubles des conduites alimentaires
  4. Les troubles du sommeil
  5. Les troubles liés à une substance
  6. Autres
  1. Les troubles anxieux
    Le mal de dos est souvent considéré comme « le mal du siècle ». Selon moi, il en est de même pour l’anxiété (les deux maux coexistent d’ailleurs régulièrement). Vous l’aurez compris, de nombreuses personnes consultent pour de l’anxiété qui se manifeste sous différentes formes, on retrouve (liste non exhaustive) :
    1. L’attaque de panique. Elle dure de quelques minutes à quelques heures et survient sans prévenir, de façon très brutale. Les symptômes (sueurs, palpitations, souffle court, etc.) sont intenses et peuvent parfois faire penser à une crise cardiaque. La peur qui s’ensuit est incontrôlable. Un cercle vicieux s’installe : l’anxiété et la peur causée par l’attaque de panique va faciliter l’apparition d’une nouvelle crise tandis que la crise va intensifier les symptômes anxieux. Elle est souvent liée à l’agoraphobie qui est la peur de se retrouver dans des endroits d’où il serait difficile de s’échapper ou dans des endroits où on ne trouverait aucun secours en cas d’attaque de panique.
    2. La phobie spécifique comme la peur intense des araignées, du vide, des ascenseurs, de l’avion, etc.
    3. La phobie sociale qui est la peur de certaines situations sociales ou de situations de performance devant des inconnus.
    4. Le trouble obsessionnels-compulsifs (TOC), mélange de pensées obsédantes et de comportements répétitifs, séries de gestes, de rituels (se laver les mains encore et encore par peur d’être sale, contaminé ; vérification –fermeture des portes, robinet de gaz-, par peur d’une catastrophe, etc.).
    5. L’état de stress post-traumatique faisant suite à un événement traumatisant où la personne a craint pour sa propre vie ou celle d’autrui. La peur intense éprouvée pendant l’événement est constamment revécue (souvenirs, cauchemars et les émotions et sensations intenses qui les accompagnent).
    6. Anxiété généralisée où la personne se fait du souci, de façon excessive, pour une série d’événements. Des symptômes comme l’irritabilité, l’insomnie, la tension musculaire peuvent s’ensuivre.

  2. Les troubles de l’humeur
    1. La dépression est très présente elle aussi dans notre société occidentale. Elle est caractérisée par une série de symptômes en commençant par l’humeur dépressive et la diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toute activité, presque tout le temps. On peut également retrouver un gain ou une perte de poids, une perturbation du sommeil, une fatigue importante, un sentiment de dévalorisation ou de culpabilité, etc.
    2. Le trouble bipolaire est généralement l’alternance d’épisodes de dépression et d’épisodes (hypo)maniaques où l’humeur de la personne va être élevée avec des symptômes comme l’augmentation de l’estime de soi, la réduction du besoin de sommeil, le désir de parler constamment, une augmentation de l’activité avec parfois un engagement excessif dans des activités agréables mais à potentiel élevé de conséquences dommageables.

  3. Les troubles des conduites alimentaires
    1. L’anorexie mentale est le refus de maintenir un poids minimum normal pour l’âge et la taille. La personne va avoir une peur intense de prendre du poids. Elle va se trouver « grosse » et cela va influencer fortement l’estime de soi.
    2. La boulimie accompagne parfois l’anorexie. Elle peut également survenir en dehors d’épisodes d’anorexie. Il s’agit de l’absorption en un temps limité, d’une très grande quantité de nourriture avec un sentiment de perte de contrôle. La personne va compenser cette consommation excessive d’aliments par différentes stratégies comme des vomissements provoqués, de l’exercice physique de façon excessive, des laxatifs, des périodes de jeûne, etc.

  4. Les troubles du sommeil où on retrouve le plus souvent l’insomnie. La personne va avoir du mal à s’endormir et/ou à rester endormie. Cela va occasionner une souffrance, une altération du fonctionnement social, professionnel, etc.
  5. Les troubles liés à une substance dont la dépendance à l’alcool (ou à la cigarette, au cannabis, etc.) où la personne va consommer la substance en grandes quantités ce qui conduit à une altération du fonctionnement ou à une souffrance importante. On retrouvera certaines manifestations comme la tolérance ou le sevrage au produit.
  6. De façon moins scolaire, citons également les motifs de consultation suivant :
    1. Beaucoup de personnes consultent à cause de leur manque d’estime d’elles-mêmes ou parce qu’elles ne parviennent pas à exprimer leurs besoins, leurs désaccords, etc. Ces personnes ne se sentent pas épanouies, se sentent parfois comme spectatrices de leur propre vie.
    2. Les conflits interpersonnels sont également très présents au sein des divers motifs de consultation. Ils semblent insolubles vu de l’intérieur. Les personnes vont avoir le sentiment de tourner en rond, les mêmes phrases, les mêmes comportements sont répétés sans succès. Cela peut créer de la frustration, un malaise, une souffrance, etc.
    3. Chacun peut se sentir perdu à un moment de sa vie. « La crise de la quarantaine », mais aussi, l’état dans lequel on se trouve suite à une rupture sentimentale, suite à un licenciement, une grossesse non désirée, l’annonce d’une maladie (chez nous ou un proche), etc. Ce sont des moments charnières de la vie qui sont parfois difficiles à surmonter. "Quels choix poser ?" ; "quelle voie emprunter ?" sont des questions auxquelles le psychologue pourra vous aider à répondre.

Familles

La problématique d’un enfant, d’un adolescent concerne toujours toute une famille soit simplement parce que la souffrance du jeune se répercute sur ses proches soit parce que la problématique du jeune trouve sa source au sein de la famille (difficultés interpersonnelles, etc.).
Dans tous les cas, il est toujours intéressant de recevoir la famille du jeune en difficulté. Les parents du jeune amènent un autre éclairage sur les difficultés de leur enfant. Cette situation permet aussi à chacun de s’exprimer dans des conditions idéales d’écoute, de respect, ce qui constitue en soi une part de la thérapie.

Couples

Notre société occidentale est toujours plus exigeante. Nos grands-parents s‘unissaient pour fonder une famille, partager des ressources, des projets et s’épauler en cas de difficultés. Ils savaient accepter les frustrations, les conflits étaient surmontés, la patience était règle d’or, etc. Les couples d’aujourd’hui ont les mêmes exigences et souhaitent également préserver la passion amoureuse des premiers jours avec des relations sexuelles régulières et toujours aussi satisfaisantes. Les exigences sont plus élevées, et en même temps les couples se donnent moins de ressources. Le rythme de nos journées nous prive peut-être de notre patience, de notre capacité à gérer les conflits...

C’est ainsi que dans les grandes agglomérations, un couple sur deux divorce…

La cohabitation nouvelle, la naissance du premier puis du deuxième enfant, l’adolescence des enfants, leur autonomisation et leur départ de la maison, le décès des grands-parents et la retraite sont autant d’étapes de la vie d’un couple sujette à des difficultés nouvelles. Il doit s’ajuster, se réorganiser. Cela sans compter sur la maladie, les difficultés financières, un licenciement, etc.

La thérapie de couple constitue une pause, chacun pourra s’exprimer dans des conditions idéales d’écoute et de respect. La communication pourra être rétablie, les difficultés discutées. Le psychologue aidera les partenaires à y voir plus clair, à prendre de la distance par rapport aux difficultés, à explorer de nouvelles solutions, de nouvelles façons de fonctionner, etc.

Entreprises

Nous passons une grande partie de notre vie sur notre lieu de travail. Tout comme à la maison, notre lieu de travail peut être source de frustration, d’insatisfaction, de conflits, etc. Et une mauvaise ambiance, c’est aussi une plus mauvaise rentabilité. Dès lors, le psychologue en entreprise aura un rôle primordial au sein d’une société. Des formations en affirmations de soi, en communication (etc.) pourront également améliorer la qualité de vie des travailleurs et aussi leur rentabilité.


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